mardi 28 mars 2006

La chasse aux phoques a démarré…

Au Canada, a débuté depuis deux jours le plus important massacre commercial d’animaux marins de la planète. A son terme, on pourra compter plus de 325 000 phoques morts, pour la plupart des bébés (certains ont à peine douze jours). Lors d’une récente chasse, des vétérinaires examinèrent les phoques morts : plus de 42% d’entre eux avaient été dépiautés tandis qu’ils vivaient encore et/ou étaient conscients. Et tout ce sang pour leur peau (industrie de la mode), leur huile, leur chair et leurs organes génitaux, c'est-à-dire des parties de leur corps qui ne nous sont aucunement nécessaires et pour lesquelles nous possédons d'excellentes alternatives.
Des sondages fiables indiquent que la majorité des Canadiens s’opposent à cette chasse, mais, jusqu’à présent, le gouvernement canadien et l’Industrie de la pêche résistent. Nouvel espoir : depuis peu, un parti politique, représenté par le 1er ministre, Stephen Harper, a été dernièrement élu au pouvoir. Si nous nous mobilisons suffisamment, il peut enfin changer la position du Canada.
Pour plus d'informations, cliquez ici.

Comment agir ?
- Une pétition en ligne (canadienne) cherche à engranger au moins 175 000 signatures, avant le 29 mars. A l’heure actuelle, on en compte déjà 171 444. Si vous souhaitez contribuer à la campagne, cliquez ici.
- Une seconde pétition (française), lancée par fourrure-torture, est également en ligne (cliquez ici).
Ces deux campagnes émanant d'organismes différents, rien n'empêche de signer aux deux.
Merci de votre soutien, et n'hésitez pas à diffusez le message. Que la chasse 2006 soit la dernière !

(traduction légèrement personnalisée du texte d’introduction de la pétition)
Rendez-vous sur Hellocoton !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je suis allée sur le site, j'ai signé la pétition je vais mettre un lien sur mon blog vers ton post...

Virginie a dit…

Merci Loïse. J'ai posté le billet en urgence cette nuit.
Je viens de rajouter les lien vers la pétition de fourrure-torture et leur page d'infos.